• En ce moment, cela m’arrive régulièrement d’avoir le même fantasme qui revient le soir au moment d’aller me coucher.

    Je vais en soirée dans un sauna libertin, et j’ouvre ma chatte à qui veut y entrer.

    Je me pose à quatre pattes, cul bien tendu, et toutes les bites de passage sont les bienvenues.

    Une sorte d’open-chatte.

    La première bite je la sens bien, et après toutes les queues s’enchaînent. Je perds le compte tellement il y en a. Des petites, des grosses, des trop longues, des courtes que je ne sens pas. Toutes y passent, toutes viennent visiter ma chatte en profondeur, toutes viennent taper bien au fond.

    Deux mains non-identifiées de chaque côté de mon corps écartent mon sexe, une bite bien dressée y rentre d’un seul coup, des mains me caressent les seins, une autre me malaxe le clitoris, un doigt entre dans mon anus. La queue au milieu de mes reins vient d’exploser au fond de ma chatte dans un spasme puissant, elle sort, elle laisse un trou béant, comblé aussitôt par une autre queue chauffée à la main et ne demandant que de jouir de nouveau en profondeur de mon cocon bouillant. Et ainsi de suite, une queue en remplaçant une autre, pendant plusieurs heures d’affilée.

    J’ai envie que le décompte passe la barre de la centaine. 100 bites en une soirée, ce serait énorme.

    Je ne serais plus qu’un trou, qu’un garage à bites, une bonne salope.

    Des inconnus dont je ne vois pas forcément le visage, étant en position de levrette, viendraient pour me défoncer, m’utiliser, s’enfoncer encore plus loin en forçant en avant sur leurs hanches et en me tirant par les cheveux.

    Evidemment, lorsque j’y pense je suis au chaud dans mon lit et inutile de dire que j’écarte complètement mes jambes et que je m’enfonce sauvagement un bon god en m’imaginant la situation.

    Chatte offerte

     

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  • Je suis dans ce bus bondé. 

    J’ai fantasmé tout l’après-midi sur des situations scabreuses. Autant dire que je suis déjà dans un état d’excitation intense. Je sens ma chatte couler et imprégner mon string... je crois même que mon jean commence à s’humidifier. Mes lèvres sont dilatées et chaque micro mouvement m’excite davantage. 

    J’écarte les jambes, un peu trop, volontairement. Je relève autant que possible mon cul, comme pour le rendre plus accessible. 

    Mmhhh... je suis au milieu d’inconnus qui ne font absolument pas attention à mon état et je rêve qu’un pervers vienne frotter ses doigts sur mon sexe à travers mon jean. Il passerait tout d’abord un doigt, que je sentirais à peine tellement ce serait une tentative innocente. Puisqu’il ne sentirait pas de résistance il appuierait un peu plus... je me tends davantage. Un doigt, appuyé, là, au milieu de mes deux lèvres gorgées de sang. Juste là où je mouille, cette fois je suis certaine qu’il sent que je suis trempée. Il appuie davantage là où ma chatte s’ouvre. On est tellement serrés de toutes façons que personne ne pourrait nous voir. 

    Et là j’aimerais être en jupe.

    Avec le tout petit morceau de tissu de mon string totalement trempé, séparant ses doigts de mon sexe haletant. A force de les faire glisser, le tissu rentrerait à l’intérieur de mon vagin, et les doigts de cet inconnu finiraient pleinement à l’intérieur de moi, repoussant en profondeur la petite languette de textile. Un tout petit mouvement sur le côté permettrait de passer outre et le voilà en train de me fouiller entièrement à l’abri des regards. Ses doigts complètement au fond de mon sexe suintant d’appétit qui les avalerait goulûment…

    Mais je suis toujours dans mon jean, toujours le cul tendu, toujours les jambes écartées à l’intention de mon imagination. Je finis par trouver une place pour m’asseoir. Le contact du siège sur mes lèvres gonflées à travers mon pantalon me fait un effet terrible. Je bouge d’avant en arrière en faisant de tous petits mouvements pour que mes voisins ne se rendent compte de rien. Je sens mon sexe ouvert, je sens que j’aimerais me faire pénétrer maintenant. Je sens une goutte se frayer un chemin et atterrir encore sur mon string déjà trempé. Le siège est collé à mon arrière-train, comme une extension de mon corps, en imaginant qu’une queue bien dure puisse en sortir et me prendre lentement.

    Ma station, je sors, les fesses relevées, le sexe chaud, humide, frémissant et accessible.

    Le frotteur

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  • Je sais, c’est certainement débile, mais quelle émotion de voir ma chatte visible de tous, tendue à qui veut la voir, sur internet. Certes je n’ai pas une visibilité de dingue, mais c’est assez stimulant et excitant de savoir que mon anatomie est accessible à qui tombe dessus.

    La voir ouverte et offerte ainsi me procure un sentiment tout à fait exaltant, d’interdit transgressé.

    Evidemment on ne me reconnaît pas et heureusement, mais c’est énorme.

    J’aime cette photo faite par un photographe. C’était une séance prévue mais plutôt de type classique, portrait, pieds, en intérieur et en extérieur. Mais la séance a catégoriquement déviée après une proposition du photographe.

    Tout d’abord extrêmement gênée je ne voulais pas, puis finalement de fil en aiguille, le chauffage poussé, l’excitation ressentie a été plus forte.

    Me voilà, totalement nue, offerte à l’œil de mon photographe et à l’objectif macro de son appareil photo braqué sur mon sexe… offert. Il y touche, il le stimule, il l’ouvre en fonction de la photo qu’il souhaite. C’est assez extraordinaire. Ce n’est pas tout à fait sexuel, mais c’est totalement déroutant et exaltant.

    Des bouffées de chaleur m’envahissent, les lèvres de mon sexe gonflent. Il le voit, il me le dit. Je suis réellement gênée, mais il est clairement trop tard. Je suis prise. A 4 pattes, il entre un god qu’il avait déjà préparé non loin de lui, et continue de prendre en photo mon sexe, rempli cette fois.

    Je suis tellement excitée et d’une façon tellement puissante, qu’il finit par me faire un va-et-vient rapide et profond avec son god. Je ne tiens plus et j’explose dans un cri guttural. Je suis haletante devant lui, le cul levé, la chatte ouverte et ruisselante.

    Je suis rouge pivoine, autant de honte que de plaisir.

    Il me ramène chez moi après la séance, et il m’enverra par la suite ces photos magiques prises lors d’un espace temps indéterminé. Cette séance est restée gravée dans mon corps jusque maintenant…

    Émue...

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  • Offerte...

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  • Nouveau blog existant, un enième, perdu au milieu de milliers d'autres...

    Tout d'abord il faut se présenter. Je suis Beglad. Femme, mère, amante, amie, fleur bleue, libérée. Avec déjà plusieurs vies et de nombreuses autres encore devant moi.

    Je suis libérée oui, parfois plus et parfois moins.

    Je suis parfois exhib, je suis parfois voyeuse.

    J'aime le sexe, mais avec classe. Du naturel, de la passion, du hard aussi, tout va ensemble et lorsque que tout ceci se combine c'est ô combien jouissif.

    Je suis Beglad, sois heureuse en assumant ce que tu es, de hors norme, de pervers aussi, d'animal.

    Bienvenue sur mon blog qui sera un mélange de textes, de pensées, d'imagination, de vécu et de photos aussi. A bientôt.

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