• Le frotteur

    Je suis dans ce bus bondé. 

    J’ai fantasmé tout l’après-midi sur des situations scabreuses. Autant dire que je suis déjà dans un état d’excitation intense. Je sens ma chatte couler et imprégner mon string... je crois même que mon jean commence à s’humidifier. Mes lèvres sont dilatées et chaque micro mouvement m’excite davantage. 

    J’écarte les jambes, un peu trop, volontairement. Je relève autant que possible mon cul, comme pour le rendre plus accessible. 

    Mmhhh... je suis au milieu d’inconnus qui ne font absolument pas attention à mon état et je rêve qu’un pervers vienne frotter ses doigts sur mon sexe à travers mon jean. Il passerait tout d’abord un doigt, que je sentirais à peine tellement ce serait une tentative innocente. Puisqu’il ne sentirait pas de résistance il appuierait un peu plus... je me tends davantage. Un doigt, appuyé, là, au milieu de mes deux lèvres gorgées de sang. Juste là où je mouille, cette fois je suis certaine qu’il sent que je suis trempée. Il appuie davantage là où ma chatte s’ouvre. On est tellement serrés de toutes façons que personne ne pourrait nous voir. 

    Et là j’aimerais être en jupe.

    Avec le tout petit morceau de tissu de mon string totalement trempé, séparant ses doigts de mon sexe haletant. A force de les faire glisser, le tissu rentrerait à l’intérieur de mon vagin, et les doigts de cet inconnu finiraient pleinement à l’intérieur de moi, repoussant en profondeur la petite languette de textile. Un tout petit mouvement sur le côté permettrait de passer outre et le voilà en train de me fouiller entièrement à l’abri des regards. Ses doigts complètement au fond de mon sexe suintant d’appétit qui les avalerait goulûment…

    Mais je suis toujours dans mon jean, toujours le cul tendu, toujours les jambes écartées à l’intention de mon imagination. Je finis par trouver une place pour m’asseoir. Le contact du siège sur mes lèvres gonflées à travers mon pantalon me fait un effet terrible. Je bouge d’avant en arrière en faisant de tous petits mouvements pour que mes voisins ne se rendent compte de rien. Je sens mon sexe ouvert, je sens que j’aimerais me faire pénétrer maintenant. Je sens une goutte se frayer un chemin et atterrir encore sur mon string déjà trempé. Le siège est collé à mon arrière-train, comme une extension de mon corps, en imaginant qu’une queue bien dure puisse en sortir et me prendre lentement.

    Ma station, je sors, les fesses relevées, le sexe chaud, humide, frémissant et accessible.

    Le frotteur

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  • Commentaires

    1
    Mardi 19 Décembre 2017 à 22:20
    Votre commentaire est très excitant. J aimerai échanger avec vous.
    Mail chenedujura@laposte.net
    2
    Mercredi 20 Décembre 2017 à 14:54
    Merci beaucoup...
    3
    Mercredi 20 Décembre 2017 à 15:12
    Découvrant ce site par votre intermédiaire, je dois dire que pour une première lecture, j'ai adoré. Je me suis imaginé être le parfait inconnu du bus... et je dois dire que mon caleçon s'en souviens encore.
    Très belle écriture !
    4
    Mercredi 20 Décembre 2017 à 15:26
    mmhhhh... oui c'est assez excitant comme situation...
    5
    Jeudi 21 Décembre 2017 à 10:53
    Veux-tu essayer ma queue à la place de ce vulgaire gode?
    6
    Mardi 26 Décembre 2017 à 21:19
    Tu es trop chaude
    Je te prendrai bien dans des lieux insolites
    J’ai toujours trouvé cela très excitant
    7
    Vendredi 23 Février 2018 à 23:36
    Bonsoir Beglad,
    Tes récits m'ont excité comme un animal en rut...
    Encore!
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